- La maladie d'Alzheimer qu'est ce que c'est ?
- Par le Docteur Lucien Mias
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- Une approche des démences par les soignants qui sont sur le front de l'action.
- - sénescence - dès que les tempes grisonnent - des démences - alzheimer - causes -
- mots et maux- ça commence comment - ça évolue comment -
- similitudes et différences - différencier pour agir -
- Vivre avec un Alzheimer au quotidien
- Par le Docteur Lucien Mias
- Des suggestions pratiques pour négocier au mieux la vie quotidienne
Troubles de la mémoire - L'aide à l'habillage - L'aide au coucher - Pour pallier à l'incontinence urinaire - L'aide à la toilette - L'aide à l'alimentation - Relations avec les autres - Troubles de l'orientation - Orientation vers la réalité - Troubles de la connaissance - Troubles de la parole - Troubles de la réalisation et la compréhension des gestes - Déambulation - Angoisse - La communication - La souffrance de la famille
- Paroles de déments, Parole aux déments
- Par le Docteur Geneviève Demoures
- Ce que dit le malade, comment et à qui ?
- Ce que lui disent les soignants et comment ils utilisent la parole ?
- Ce qu'on dit de lui et de sa maladie, dans la famille, l'institution et la société.
La maladie d'Alzheimer, de par l'existence d'un syndrome aphaso-apraxo-agnosique, est communément définie comme une maladie de la relation, où l'amnésie qui en est à l'origine entrave la communication avec le patient jusqu'à l'enfermer dans la solitude du déni.
On dira alors "qu'il est dans son monde, qu'il ne réalise pas, qu'il ne comprend plus rien, ne reconnaît pas ou dit n'importe quoi".
C'est sans doute aller bien vite à définir une pathologie en termes de pertes (avec tous ces -a- privatifs) et faire l'impasse sur les capacités restantes de la mémoire affective et de la mémoire émotionnelle pour lesquelles la parole garde tout son sens.
La réflexion que je vous livre prend sa source dans ma pratique quotidienne, auprès des patients du service, atteints d'une démence et d'une dépendance sévère.
On dira alors "qu'il est dans son monde, qu'il ne réalise pas, qu'il ne comprend plus rien, ne reconnaît pas ou dit n'importe quoi".
C'est sans doute aller bien vite à définir une pathologie en termes de pertes (avec tous ces -a- privatifs) et faire l'impasse sur les capacités restantes de la mémoire affective et de la mémoire émotionnelle pour lesquelles la parole garde tout son sens.
La réflexion que je vous livre prend sa source dans ma pratique quotidienne, auprès des patients du service, atteints d'une démence et d'une dépendance sévère.
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- Trois aspects différents, par rapport à la parole m'ont semblé nécessaires :
— Ce que dit le malade, comment et à qui ?
— Ce que lui disent les soignants et comment ils utilisent la parole ?
— Ce qu'on dit de lui et de sa maladie, dans la famille, l'institution et la société.
— Ce que lui disent les soignants et comment ils utilisent la parole ?
— Ce qu'on dit de lui et de sa maladie, dans la famille, l'institution et la société.
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- Référence du site ou ont été pris les extraits :
Site Web "Gérontologie en institution" : http://membres.lycos.fr/papidoc/
Voir aussi :
Accompagnement interculturel
des mourants et de leurs proches
- En 1976, le Conseil de l'Europe s'est prononcé sur " Les droits des malades et des mourants":
- droit à la liberté
- droit à la dignité et à l'intégrité de la personnalité
- droit d'être informé
- droit aux soins appropriés
- droit de ne pas souffrir
- Ces droits sous tendent les objectifs de l'accompagnement que nous allons aborder sous la forme de quatre chapitres :
- I - Savoir pour mieux aider
- II - Savoir maîtriser la douleur
- III - Savoir être et savoir faire
- IV - Savoir percevoir la détresse de la famille
- Référence du site ou ont été pris les extraits :
- Site Web "Gérontologie en institution" : http://membres.lycos.fr/papidoc/

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